Published April 2023
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Solutions et stratégies pour maîtriser Halyomorpha halys
Contributors
Others:
- Institut Sophia Agrobiotech (ISA) ; Université Nice Sophia Antipolis (1965 - 2019) (UNS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement (INRAE)-Université Côte d'Azur (UniCA)
- Bioplanet
- Centre de Biologie pour la Gestion des Populations (UMR CBGP) ; Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD [Occitanie])-Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement (INRAE)-Institut Agro Montpellier ; Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Université de Montpellier (UM)
- Association Nationale des Producteurs de Noisettes (ANPN)
- Centre Technique Interprofessionnel des Fruits et Légumes (CTIFL)
Description
Contexte : La punaise diabolique Halyomorpha halys, ou punaise marbrée, originaire d'Asie de l'Est, a été signalée pour la première fois en Suisse en 2004, puis en Italie en 2007 et en France en 2012. Elle s'est rapidement répandue sur le territoire, en particulier dans lesrégions productrices de fruits et de légumes, où elle représente une menace pour l'ensemble des cultures et vergers. Études : Outre la mise en place de mesures de surveillance, des projets de recherche étudient les moyens de gestion possibles pour tenter de limiter la propagation et de réduire les dommages causés aux cultures par la punaise invasive Halyomorpha halys. Résultats : Différents outils permettent d'identifier, localiser et suivre les populations (plantes sentinelles, pièges, battages...). Peu de solutionsde contrôle efficaces à 100% existent: si les filets offrent de bons résultats, il faut que leur installation soit précoce et n'offre aucune voie d'entrée. Plusieurs substances actives s'avèrent efficaces (pyréthrinoïdes, spinosad, azadirachtine), mais ces produits ne disposent pas forcément d'autorisation sur punaises ou présentent certaines contraintes (gestion de la résistance, préservation des auxiliaires). l..'.observation des stades à traiter permet d'envisager des stratégies « d'attract and kill » à l'aide de plantes-pièges ou de « Crop Perimeter Restructuring programmes (CRP) ». En biocontrôle, les micro-organismes en sont encore au stade d'essais en laboratoire. Parmi les macro-organismes utiles, les parasitoïdes Trissolcus et Anastatus bifasciatus s'avèrent prometteurs. Les opérations de primo-introduction sont initiées.
Abstract
National audienceAdditional details
Identifiers
- URL
- https://hal.inrae.fr/hal-04946788
- URN
- urn:oai:HAL:hal-04946788v1
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- UNICA