Usefulness of combined sequencing of the mitochondrial genome and a targeted panel of nuclear genes involved in mitochondrial diseases
- Others:
- Département Médico-Universitaire Biologie et Génomique Médicales [Sorbonne Université] (DMU BioGem) ; CHU Charles Foix [AP-HP] ; Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-CHU Tenon [AP-HP] ; Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-CHU Pitié-Salpêtrière [AP-HP] ; Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-CHU Trousseau [APHP] ; Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-CHU Rothschild [AP-HP] ; Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-CHU Saint-Antoine [AP-HP] ; Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)
- Unité de Recherche sur les Maladies Cardiovasculaires, du Métabolisme et de la Nutrition = Research Unit on Cardiovascular and Metabolic Diseases (ICAN) ; Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Sorbonne Université (SU)-Institut de Cardiométabolisme et Nutrition = Institute of Cardiometabolism and Nutrition [CHU Pitié Salpêtrière] (IHU ICAN) ; CHU Pitié-Salpêtrière [AP-HP] ; Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-CHU Pitié-Salpêtrière [AP-HP] ; Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)
- MitoVasc - Physiopathologie Cardiovasculaire et Mitochondriale (MITOVASC) ; Université d'Angers (UA)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
- MitoVasc - Équipe MitoLab (Mitochondrial Pathophysiology) (MITOVASC-MITOLAB) ; MitoVasc - Physiopathologie Cardiovasculaire et Mitochondriale (MITOVASC) ; Université d'Angers (UA)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université d'Angers (UA)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
- The National Network of Diagnostic Laboratories for Mitochondrial Diseases (T2NDLMD)
- Unité de Technologies Chimiques et Biologiques pour la Santé (UTCBS - UM 4 (UMR 8258 / U1022)) ; Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Institut de Chimie du CNRS (INC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Paris Cité (UPCité)
- Institut de Recherche sur le Cancer et le Vieillissement (IRCAN) ; Université Nice Sophia Antipolis (1965 - 2019) (UNS) ; COMUE Université Côte d'Azur (2015-2019) (COMUE UCA)-COMUE Université Côte d'Azur (2015-2019) (COMUE UCA)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Côte d'Azur (UCA)
- Dpt génétique médicale [CHU Nice] ; Centre Hospitalier Universitaire de Nice (CHU Nice)
- MitoDiag : The National Network of Diagnostic Laboratories for Mitochondrial Diseases includes: Pascal Reynier (CHU Angers), Patrizia Amati-Bonneau (CHU Angers), Céline Bris (CHU Angers), Vincent Procaccio (CHU Angers), Alice Choury (CHU Angers), Valérie Desquiret-Dumas (CHU Angers), Naig Gueguen (CHU Angers), David Goudenege (CHU Angers), Marie-Laure Martin-Negrier (CHU Pellegrin, Bordeaux), Aurélien Trimouille (CHU Pellegrin, Bordeaux), Stéphane Allouche (CHU Caen), Gaëlle Hardy (CHU Grenoble) Claire-Marie Dhaenens (CHU Lille), Aurore Davos (CHU Lille), Cécile Acquaviva-Bourdain (CHU Lyon), Cécile Pagan (CHU Lyon), Sophie Vasseur (CHU Lyon), Samira Ait-el-Mkadem Saadi (CHU Nice), Sylvie Bannwarth (CHU Nice), Annabelle Chaussenot (CHU Nice), Konstantina Fragaki (CHU Nice),Véronique Paquis-Flucklinger (CHU Nice), Cécile Rouzier (CHU Nice), Pauline Gaignard (CHU Bicêtre), Giulia Barcia (CHU Necker), Jean-Paul Bonnefont (CHU Necker), Julie Steffann (CHU Necker), Anne Sophie Lebre (CHU REIMS).
Description
The molecular study of mitochondrial diseases, essential for diagnosis, is special due to the dual genetic origin of these pathologies: mitochondrial DNA and nuclear DNA. Complete mtDNA sequencing still remains the first line diagnostic test followed if negative, by resequencing panels of several hundred mitochondrially-encoded nuclear genes. This strategy, with an initial entire mtDNA sequencing, is currently justified by the presence of nuclear mitochondrial DNA sequences (NUMTs) in the nuclear genome. We designed a resequencing panel combining the mtDNA and 135 nuclear genes which was evaluated compared to the performances of the standard mtDNA sequencing. Method validation was performed on the reading depth and reproducibility of the results. Thirty patients were analyzed by both methods. We were able to demonstrate that NUMTs did not impact the mtDNA sequencing quality, as the identified variants and mutant loads were identical with the reference mtDNA sequencing method. Reading depths were higher than the recommendations of the MitoDiag French diagnostic network, for the entire mtDNA for muscle and for 70% of the mtDNA for blood. These results highlight the usefulness of combining both mtDNA and mitochondrially nuclear-encoded genes and thus obtain more complete results and faster turnaround time for mitochondrial disease patients.
Abstract (French)
Le diagnostic moléculaire des maladies mitochondriales est complexe du fait de la double origine génétique de ces pathologies : ADN mitochondrial (ADNmt) et ADN nucléaire (ADNn). Le séquençage complet de l'ADNmt reste l'analyse de première intention complété si besoin par l'étude de l'ADNn. Cette stratégie avec un séquençage isolé de l'ADNmt se justifie par l'existence de pseudogènes mitochondriaux au niveau nucléaire. Nous avons élaboré un panel comprenant l'ADNmt et 135 gènes nucléaires que nous avons comparés au séquençage isolé de l'ADNmt. Trente patients ont été analysés par les deux méthodes. La validation de méthode a été faite sur la profondeur de lecture et la reproductibilité des résultats. Nous avons mis en évidence l'absence d'impact des pseudogènes sur la détection et la quantification de l'hétéroplasmie des variants de l'ADNmt. Les profondeurs sont supérieures aux recommandations du réseau pour l'intégralité de l'ADNmt pour le muscle et pour 70 % pour le sang. Ces résultats mettent en avant l'intérêt du séquençage commun de l'ADNmt et ADNn permettant l'obtention de résultats complets, dans un délai plus court.
Abstract
International audience
Additional details
- URL
- https://www.hal.inserm.fr/inserm-03996709
- URN
- urn:oai:HAL:inserm-03996709v1
- Origin repository
- UNICA